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 synthese mega baleze de français pour lexamen de juin

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jonathan

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MessageSujet: synthese mega baleze de français pour lexamen de juin   synthese mega baleze de français pour lexamen de juin Icon_minitimeSam 6 Juin - 20:22

L’expressionnisme :



Michel de Guelderode :
Œuvres principale : récits et nouvelles (Sortilèges)
Théâtre (Escurial / Magie Rouge)

Caractéristiques du théâtre de Guelderode :
• goûts pour les œuvres lié à la patrie : lié a son passé flamand, au passé breughélien et au lié à des allusions bibliques.
• Intérêt pour l’inconscient et l’insolite
• Refus des règles : tous les genres sont mêlés en un spectacle total
• Importance de la mise en scène : bruitages, costumes, lumières, personnages,-foules…
• Langue rabelaisienne et baroque : entrechoquements, accumulations, mélange de vocabulaire très relevé et de vocabulaire « puant », grossier voire scatologique.
• Personnages parodiques et caricaturaux : influence de Jarry, de Charlie Chaplin et du théâtre de marionnettes. Tous ses personnages sont des ratés, des dégénérrés, ou des masques, des marionnettes et jouent entre eux la comédie sur scène.
 théâtre est difficilement classable se situe dans le carnavalesque mais aussi influences du surréalisme, du symbolisme, du dadaisme …

« ESCURIAL »
Le fripon divin :
• Folial :
- humain (1e partie du jeu)
- roi (comédie +réalité)
- animal (araignée – chien – gorille)
- moins qu’un animal : il lui arrive de perdre conscience : seuls ses mains agissent seules !
• Roi :
- plus qu’un humain habituel dans son rôle de roi monstrueusement intelligent
- humain (début de la pièce et a certains moments du jeu)
- animal (bouc…)
- ignoble à certains moments
- véritablement fou ?
 les 2 perso sont interchangeables. Ils sont tous les 2 fripons divins. Ils pourraient tout 2 être la mauvaise conscience de l’autre, ce qui les remets chacun en question.

La mort de la reine :
• causes de la mort pour Folial :
- les espions
- l’atmosphère nocive du palais
- le manque de contact (elle est enfermée dans ce palais)
• causes de la mort pour le roi :
- elle n’a pas voulu l’aimer
- elle est tombée amoureuse de Folial, c’était un amour interdit, la transgression la tuée
- elle a été empoisonnée
• nb : toute cette pièce pourrait être symbolique.
Folial pourrait être l’allégorie de la jeunesse du roi et le roi ce qu’il est devenu à cause de l’exercice du pouvoir. Le roi a tué en lui la capacité d’aimer ; la reine l’aimait tel qu’il était avant et ne l’aime plus maintenant ; donc le roi va l’empoisonner.
La disparition de Folial :
• causes de sa mort :
- en jouant, folial ne se contrôle plus il montre qu’il veut tuer le roi, le remplacer.
- Folial, miné par le chagrin, n’arrive plus à jouer correctement  le roi ne l’apprécie plus et le fait supprimer
- Folial semble avoir été vampirisé par le roi.
En quoi le roi est-il un acteur ?
Début : il imite le moine a sa perfection
Le jeu de folial : au départ le roi suit Folial puis il le mène. Il joue au moins aussi bien que le fou et le dépasse même, puisqu’il reste tjrs conscient.
Fin : il joue a nouveau la comédie

Ensemble initial :
- thème de la mort
- le roi veut rire (a besoin d’un fou pour le dérider)
- le roi a encore besoin d’autrui, il est encore humain
- l’amour existe encore dans le palais.

Les allégories :
- la mort et la folie règne sur le palais
- Folial est le fou et la mort le frappe
- Le roi se donne la mort et se révèle fou
- La reine meurt des deux, de leur action conjointe

Aspect tragique de la pièce :
1) règles des 3 unités : unité de lieu et d’action sont appliqués / unités de temps est incertaine
2) règle du vraisemblables : oui tout est possible
3) règle de la bienssaillance : non appliqué, non dans le langage ni dans les situations
4) actions réduites : non appliqué, les personnages agissent beaucoup
5) jamais de scène vide : appliqué la scène n’est jamais vide
6) sujet célèbre ? non
7) intrigue et dénouement tragique : l’intrigue et la fin sont tragiques. La fin est tragique pour la reine et pour le fou mais ils sont partiellement responsables.
 c’est une tragédie mais pas une classique.

Aspect carnavalesques de la pièce :
• élément clés, l’ambiance, le dédoublement sont bien appliqués le roi et le fou échange leur rôle, chacun est à la fois royal et fou.
• A) le renversement : - profanations : oui (ex : l’attitude du roi vis-à-vis de la mort, le refus de cérémonie) – infractions aux règles : l’échange des rôles, la reine et le fou qui sont amoureux, le roi menacé par le fou.
• B) la mésalliance : interne : oui, le roi est fou / le fou est trop censé / frippon divin et externe : oui, le roi et la reine ne s’accorde pas à cause des sentiments /la reine et le fou à cause des différence social et le physique.
• C) 1 – oui, parodie de tragédié, le roi qui venge son honneur est grotesque et vulgaire 2 – oui, les styles sont mélangés, l’image de l’homme éclate, Folial pourraient être le même personnage qui a éclaté.
• D) la vie sociale vue comme un théatre : oui
La mort met les 2 perso sur le même plan
Oui, le roi rigole de la mort à la fin
Oui, la folie est des grds thèmes de la pièce
Oui, grottesque tt le temps
Oui, passion qui va jusqu’à la mort pour la reine et le fou
Oui c’est devenu imprévu
 pièce est complètement carnavalesque

Le fripon divin :
Origines :
C’est le héros d’un cycle mythique des indiens d’Am2rique du nord. Il est a la fois divin, humain et infrahumain. Il est parfois humain normal avec des qualités surhumaine et est vénéré comme un dieu. Mais il est stupide.

Interprétation du FD par Jung :
Le fripon divin pour Jung c’est ce qui montre au gens civilisé une image de leur inconscient. Le FD remet en question le moi conscient et l’ordre établi.
Ceci pousse a réfléchir et a se remettre en question.

Le FD en littérature (d’après Barthine) :
En littérature le FD est un étranger au monde ou il vit. Il pratique une certaines dérision qui permet de dénoncer les stéréotypes, les manies inutiles, les situations fausses,…
Il incarne tjrs des bouffons des fou ,sot, idiot, étranger,….

Le bouc émissaire :
Dans nos sociétés quand il y a un problème on cherche un bouc émissaire pour retrouver le bonheur. Comme dans les sociétés primitives avec les rituels (on sacrifiait une victime pour se racheter auprès du dieu)

- dans escurial : bouc émissaire = la reine car elle ne connaît personne et ne ressemble à personne. Le fou l’est moins pcq il a tenté de tuer le roi (moins innocent)
[b]

Existentialisme (camus):

Biographie :
- fils d’ouvrier, passe son enfance en Algérie (colonie française)
- orphelin du père, il doit exercer divers emplois pour suivre ses études de philosophie
- il ne les achève pas à cause de la tuberculose
- il anime une troupe de comédien pour qu’il écrit ou adapte des pièces
- pendant toute l’occupation il milite dans un groupe de résistant
- jusqu’en 1947, il dirige un journal
- entre 1947-54 il se consacre entièrement à la littérature puis il revient partiellement au journalisme
- il reçoit le prix Nobel en 1957
- 1960 : meurt (accident de voiture)
Oeuvres principales :
2 cycles principaux :
- cycle de l’absurde (l’étranger) (Caligula) (le mal entendu) (le mythe de Sisyphe)
- cycle de la révolte humanitaire (la peste) (l’homme révolté) (les justes)
Existentialisme :
« L’existence précède l’essence » l’homme existe puis il construit son essence en tant qu’être humain, par chacune de ses actions. L’homme est responsable de chacune de ses actions donc de ce qu’il est devenu à la fin de sa vie.
Les grands auteurs : Sartre, Camus, = athées Mourier, Marcel = chrétien

Origines du mouvement :
L’angoisse d’exister :
• fin du 18ème siècle : préromantisme : avec rousseau réapparaissent dans la littérature française le prima du moi et de la sensibilité sur la raison. Le problème des rapports entre la conscience et l’existence, et que le « fait d’exister » devient source de joie ou de souffrance pour cette conscience.
• Fin 18  début 19 Siècle : le sentiment de l’existence devient malaise et insatisfaction chez la plus part des écrivains. Le malaise de vivre devient donc ennui existentiel : la génération romantique l’appelle mal du siècle.
• Milieu 19 Siècle : le malaise de l’existence devient aussi un sujet de méditation pour 2 philosophes étrangers (Schopenhauer et Kierkegaard) pour S. le « vouloir vivre » est à l’origine de tout comportement humain. L’homme doit donc renoncer à vivre non par le suicide mais par la chasteté et l’ascétisme, pour atteindre un état d’indifférence ou nirvana. Et pour K. le malheur de l’homme vient de ce qu’il est une synthèse du fini et de l’infini.
L’absurdité d’exister :
• 20ème siècle :
- l’influence de Kierkegaard se fit surtout sentir au 20 S : elle est une source de l’existentiellement chrétien. Sartre a repris certaines de ses analyses (l’angoisse et la solitude)
- les racines philosophiques de l’existentialisme sont antérieures à la deuxième guerre mondiale. on ne peut pas comprendre l’existence grâce à la raison.
- D’autres écrivains comme Becket crée un monde de désespoir.




La philosophie de camus :

Conception de l’art et le rôle de l’écrivain par camus :
Pour Camus l’art permet d’être au niveau des autres. C’est un moyen d’émouvoir le plus grand nombre d’hommes en leur offrant une image privilégiée des souffrances et des joies communes.  Idée de l’écrivain engagé
Il oblige donc l’artiste à ne pas s’isoler ; il le soumet à la vérité la plus humble et la plus universelle. (L’artiste n’est pas un homme seul)
L’artiste doit se soumettre au service des plus petits et pas des plus grands.
L’artiste se justifie par rapport à la communauté dans laquelle il est.

Comment prend t’on conscience de l’absurde :
- l’absurde est présent dans la vie de tous les jours, une vie dont la monotonie se comprend mal.
- L’absurde saisit également la conscience de l’individu dés l’instant où il se sait incapable d’échapper au temps.
- L’homme est également un être absurde devant la certitude de la mort. Pourquoi vivre si tout peut disparaître en un seul instant.
- L’univers est incompréhensible à l’homme alors que son exigence fondamentale est de comprendre. le rapport de l’homme à l’univers est donc absurde.

3 solutions :
- la première est logique c’est le suicide
- la deuxième est l’espoir
- la troisième : camus refuse volontairement ces deux premières solutions qu’il considère comme une abdication. Il faut vivre,. Cet héroïsme sera la révolte.

La révolte : ce qu’elle est/ ce qu’elle n’est pas précisément :
- une révolte consciente et sans espoir
- elle n’est pas violente
- elle n’est pas révolutionnaire
- c’est une attitude devant le désordre de la vie
- c’est une crise de conscience, qui exige la vie dans le bonheur et dans l’amour.
- Elle n’est pas absolue : quand on veut trop le bien on en arrive à faire naître le mal. L’homme doit être conscient de ses limites
- Elle n’est pas négative : elle défend dans la vie ce qui mérite d’être défendu : l’amour
- C’est la conséquence de l’absurdité. Il ne s’agit pas de dégoût. La révolte est positive, engagée pour des valeurs telles que l’amour, l’amitié, la communication avec autrui.

LES JUSTES :
Grand thèmes :
• la justice et ses ambiguïtés :
ce thème est une vraie obsession chez camus. La justice peut satisfaire la liberté individuelle comme si opposé. Camus a tjrs eut peur de ses excès. Il a tjrs défendu à coté de la justice d’autres valeurs que la justice menaçait elle-même. Camus s’oppose donc à la violence aveugle des révolutionnaires. Il ne faut pas dépasser les limites.
• la mort et la vie
- la violence / la mort : ceci est très important dans les œuvres de camus. Chacune comporte le récit d’un meurtre. Pour camus l’homme est tantôt victime, tantôt bourreau et surtout l’un et l’autre. Tuer c’est perdre sa jeunesse jusqu'à sa propre mort qui est un retour à l’enfance.
- Le respect de la vie : les premier héros de camus était différent à la mort d’autrui ensuite ils surmontent cette logique nihilistes et la vie devient la valeur essentielle dans ses œuvres.
• innocence et culpabilité
Tout le monde est coupable sauf les enfants, c’est pourquoi, leur douleur et leur mort sont scandaleux. Ceux-ci explique aussi pourquoi camus a choisi Yanneck pour héros. C’est un des rares révolutionnaires pour qui la fin ne justifie pas les moyens.
• le bonheur sur la terre
Camus est athée, il se dit même allergique à la religion, pour lui le bonheur est donc sur terre mais il le met rarement en scène dans ces œuvres. Pour beaucoup de critiques littéraires, camus est quand même influencé par la religion. Certains aspect de la pièce font pensé aux évangiles.
Monde impur monde sauvé



Meurtre sacrifice d’un pur /

 Ce schéma ressemble à celui de l’évangile, mais ici ce n’est vrai que dans les paroles, en apparence dans les mots de Yanneck puisqu’il prétend racheter son crime. Il est trop orgueilleux il se juge lui-même.

Pourquoi els justes ?
- ils combattent tous l’injustice
- il accepte de payer pour ce qu’ils ont fait
- ils pensent être des terroristes justes. Ils défendent une bonne cause.

Yanneck et Stéphane :
Tout deux veulent la justice et sont révoltés :
• Yanneck
- aime la vie le bonheur la Russie la poésie
- l’honneur passe avant tout et même avant la justice
- il est croyant mais refuse la religion
- il veut réaliser le bonheur sur terre (il oublie dieu pour sauver l’homme)
• Stéphane
- aime plus la vie
- il n’y a plus que de la haine en lui
- il ne croit en rien
- il veut tout détruire, pour lui la fin justifie les moyens, tout est permis pour aboutir a la justice et celle-ci est au dessus de la vie.
- Aime plus son pays et n’espère plus rien ici bas pour lui-même

Dans la cellule :
Yanneck discute avec 3 personne :
-Foka : pourait symbolisé le corps
-Stourakov : la raison
-La grande duchesse : l’âme
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jonathan

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MessageSujet: Re: synthese mega baleze de français pour lexamen de juin   synthese mega baleze de français pour lexamen de juin Icon_minitimeSam 6 Juin - 20:24

Nouveau théâtre :

Le théâtre de Ionesco
Ressemblances avec les auteurs pré surréalistes ou surréalistes. Ex: Queneau ou Artaud
Dans la seconde partie de son oeuvre Ionesco est influencé par le théâtre satirique du moyen age et par des auteurs non surréalistes liés au fantastiques ou à l'absurde. Ex : Kafka, Becke et Camus.

Ionesco et Sartre :

A théâtre engagé (Sartre):
Présente des personnages dont la liberté est prise au piège par la situation. Ils contribuent tous deux à l'élaboration du théâtre moderne en provoquant l'inquiétude et le malaise du spectateur.

B anti-théâtre (Ionesco):
Les auteurs d'avant gardes comme Ionesco réagissent contre le théâtre engagé. Le recours à l'absurde consiste d'abord pour eux à contester la forme théâtrale à l'intérieur de l'oeuvre elle-même : c'est l'anti théâtre.
Le théâtre de Ionesco est non engagé, d'emblée, puisque pour lui toutes les sociétés se valent, il ne peut prendre position cependant son oeuvre contient un cri d'alarme face aux contraintes qu'impose le monde moderne.

Ionesco ( 1909 – 1994)

il est opposé au mouvement fasciste qui a pris le pouvoir en Roumanie
oeuvres :
° 'La cantatrice chauve ou tragédie du langage' :
 antipièce agressive et satirique
 conformiste
° 'La leçon' : le drame du couple, déjà traité dans cette dernière pièce s'amplifie encore dans les suivantes : victimes du devoir
Peu à peu l'homme cesse de subir ou de fuir l'aliénation provoquée par la vie sociale. Il résiste de front au danger de la déshumanisation
° 'rhinocéros' 'le roi se meurt' : traduit la même quête douloureuse, la soif de l'absolu.

Le théâtre de dérision et de parodie de Ionesco tend à désarticuler le langage et le mécanisme théâtral traditionnel. C'est un théâtre « où l'invisible devient visible où l'idée se fait image concrète, réalité où le problème prend chair où l'angoisse est là, évidence vivante, énorme »

Caractéristiques et périodes :

1 anti-théâtre pure et simple : année 50
Remise en cause du théâtre comme représentation d'une « histoire » ex : 'la cantatrice chauve'
Ces pièces sont reconnaissables aux sous titres contradictoires et elles ne respectent ni les genres traditionnels ni les règles communes aux différents genres :
 pas de scène d'exposition
 dialogue banal
 pas d'intrigue : succession, enchaînement de moment commandés par les caprices du langage ou les rapports ambigus du rêve et de la réalité. L'histoire semble ne pas tenir debout.
 Pas de personnages classiques : pas de psychologie. Les personnages sont la proie de clichés.
Donc présence d'invraisemblable et de l'insolite dans le vraisemblable et le familier. Il porte un regard critique qui force le spectateur à prendre à leur égard une distance qui révèle leur caractère cocasse, absurde ou tragique.

2 mélanges contre l'anti-théâtre avec le théâtre traditionnel.

Ionesco pense à un type de théâtre plus subjectif

Thèmes les + utilisés :
 la difficulté d'être
 la crainte du totalitarisme
 la peur de la mort (le roi se meurt)
 le désir d'échapper à la lourdeur de la condition humaine

LE ROI SE MEURT

Cette pièce présente une méditation sur le temps humain; et un jeu sur les rapports entre le temps vécu et le temps du spectacle.

Tragédie classique ?
1 structure :
a) la pièce est d'un seul tenant, ne présente pas de divisions explicites. Elle se joue sans interruption. On peut cependant repérer les 5 actes traditionnels de la tragédie classique.

b) la règle des 3 unités :
Temps : confusion entre le temps de l'action et le temps de la représentation. Plus court que « le jour » classique.
Lieu : un seul : la salle du trône
Action : statique : réalisation de l’annonce faite au roi de sa mort prochaine.

c) règles du vraisemblable :
Tout doit paraître vrai : pas appliqué car les murs se lézarde, se fissures,...

d) règle de bienséance :
 langage : non, le langage n'est pas soutenu
 situation : non, grossière et irrégulière
 action réduite : non ex : on voit le roi mourir
 jamais de scène vide : oui
 sujet célèbre connu : non, si le roi représente l'humanité tout entière et non si ce n'est que un individu
 -->tragédie oui, mais pas classique
2 les personnages :
Roi protagonistes = habitudes de la tragédie classique
La fin montre mieux l'enchaînement de la fatalité
Médecin = fatalité du destin
Juliette = la nourrice antique
Le garde = choeur antique


les thèmes ?
 la mort : thème tragique par excellence. Lié à la fatalité, aux prodiges et au surnaturel, et au fatalisme
 la politique : critique du pouvoir absolu et des méthodes policières / responsabilités d'un roi à l'égard de son peuple
 la folie : passage de l'indécision à la débilité / lié à la peur, le narcissisme, l'égoïsme exagéré, la paranoïa,...

Les perso ?
Ce sont des marionnettes et pas des personnages courant.
 Bérenger : symbolise l'homme : sa vie reflète toute l'histoire de l'humanité (enfant, adulte, vieux...) /peur de la mort --> grotesque / égoïsme et mauvaise foi / lâcheté, sursaut d'autorités.... font peur au spectateur
 les reines : pas d'avenir pas de passé / elles ont la même importance scéniquement / marie symbolise la vie Margueritte symbolise la mort et elle est la conscience lucide du destin. Donc les reines = double visage de notre condition : attachement à la vie et sentiment de néant.
 Le garde : vieux / il symbolise le peuple complet
son langage :
° il a parfois une valeur parodique
° Il s'exprime par clichés: ceci est une critique du langage lui-même, proche des procédés utilisés dans les premières pièces de Ionesco et une critique du conformisme, du fait d'utiliser des formules creuses sans y réfléchir vraiment.
° Il est artificiel et hétérogène --> population
 Juliette :
° plus humaines que les autre personnages
° langage très hétérogène
° Sa fonction dramatique :
Juliette a les réactions de la foule, elle prie avec les autres ses interventions sont superficielles, contradictoires. Souvent elle se montre étrangère à la tragédie ambiante elle est plutôt le miroir du passé. Elle pourrait symbolisé la vie quotidienne.
 Le médecin :
° Caractère ambigu ex: critique le roi
° symbolise le bourreau (il ne peut plus que prédire la mort, impuissant...)
ccl : ils sont pas traditionnels pas de traits biographiques, langage banal. Ce sont des archétypes: personnages qui reflètent notre condition profonde.

Le chat ?
On dit que le chat est juif et roux ce qui est déjà marginal au départ, de plus ce chat ressemble au roi
 on le compare à un prince
 isoler, marginal
 il se croit supérieur à ce qu’il est en réalité, il se croit humain alors qu'il n'est qu'un animal (comme le roi qui se prend pour un dieu)
 a la fin on dit qu'il ressemble à une poupée pantelante comme le roi qui ressemble à un pantin.
 Marguerite a laissé la porte ouverte, elle a causé indirectement la mort du chat comme elle organise celle du roi
 l'histoire du chat est une sorte de mise en abîme de l'histoire du roi, tout deux sont dénaturés et doivent à la fin voire la réalité en fasse et ils s'en meurent. De plus le chat ressemble aussi un bouc émissaire car il est innocent, isolé et ressemble assez à la communauté malgré tout. Le roi n'en est pas vraiment un lui car il n'est pas innocent.

Aspect carnavalesque ?
L'ambiance se manifeste autant au niveau de la fiction qu'au niveau de la narration.
a) le renversement : appliqué
 ce qui est noble est rabaissé et inversement
 il y a des grossissements et rétrécissements
b) Mésalliance
 externe : ex: Marie et marguerite sont > <
 interne : ex : le roi est à la fois un adulte et un enfant
c) au niveau du discours :
1 – parodie des caractéristiques habituelles du théâtre :
 le dénouement se confond trop longtemps
 les dialogues ne sont pas véritables, ils sont fondés sur des mots vieillis qu'ils ne veulent plus rien dire.
 Il progresse de façon affective ou absurde.
 Les répliques peuvent être suscités par des jeux de mots ou de pur association de sonorité.
 Les dialogues ne sont pas une suite logique mais une série de rupture.(symbolise la communication).
 Pour Ionesco, nous parlons tous tout seul et nous sommes tous seuls face à nos problèmes.
2 – La langue et le style :
 la langue utilisée par Ionesco est une langue parlée habituel, actuel
 dans le théâtre de parodie, de dérision, l'utilisation de cette langue opère une véritable remise en cause du lexique et de nos moyens d'expressions
 le style est ambivalent, il peut passer du vulgaire au poétique

Le roi est un fripon divin ?
 il est surhumain (presque immortel)
 il est humain (il finit par mourir et il a tout les défauts et qualité des êtres humains)
 Il est infrahumain (il ferait n'importe quoi pour sauvé sa vie)
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jonathan

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MessageSujet: Re: synthese mega baleze de français pour lexamen de juin   synthese mega baleze de français pour lexamen de juin Icon_minitimeSam 6 Juin - 20:25

Nouveau roman :

 en France vers 1950. veulent renouveler la littérature romanesque.
Origines :
 XVIII : Diderot : «jacques le fataliste »
 XIX : certaines oeuvres romantiques, celles de Nerval surtout
Tout le groupe gravitant autour de Mallarmé et de Lautréamont
La modernité dans son ensemble
 XX : Proust : « a la recherche du temps perdu »
Céline : « voyage au bout de la nuit »
Grand noms :
 Alain Robbe-Grillet : romancier, théoricien, cinéaste : « les gommes » ; « djinn »
 Michel Butor : romancier et théoricien : « passage de milan »
 robert Pinget : « l'inquisitoire »

Auteurs au mouvement apparentés :
 sans être des nouveaux romanciers, ils utilisent beaucoup de leurs méthodes ou les ont inspirés.
 Raymond Queneau / les dramaturges du nouveau théâtre : Ionesco; Beckett

Caractéristiques : (appliqué a Djinn)

ce que le nouveau roman refuse :
a) l'histoire classique, représentant un monde stable et cohérent ; les intrigues claires et logiquement articulées : oui, djinn correspond a cela
b)la focalisation zéro: le narrateur omniscient qui juge ses personnages, commente les actions sans hésiter: oui
c) le déroulement chronologique : il est artificiel, notre mémoire ne le connaît pas : oui
d) les personnages dont la psychologie est claire, logique,... : oui
e) les romans engagés, l'engagement social, politique, moral, les oeuvres construites en vue d'une interprétation ou d'une démonstration, qui obligent le lecteur à un jugement de valeur, à sympathiser ou à être dégoûter : oui
f) le « beau style », la recherche conventionnelle de la formule littéraire, la phrase bien balancée qui éblouit le lecteur et qui n'a pas d'autre utilité

ce que veut le nouveau roman :
a) le narrateur doit être une oeuvre de production. Le lecteur n'est plus passif : il participe à la construction du sens. Il n'y a plus une histoire donnée mais il est possible d'en construire plusieurs à partir du roman. Il faut transformer le lecteur en écrivain : oui l'histoire semble en contenir plusieurs
b) le monde, les lieux, les objets sont décrits non pour en faire des décors, pour les interroger ou pour symboliser telle valeur sociale, par exemple, mais simplement pour les voir. Pour le narrateur le monde n'est ni significatif ni absurde, il est présent, tout simplement. Les choses restent des choses, c'est le lecteur qui en fait des signes. C'est lui qui devient critique, se forge une opinion : aucune n'est imposée. : oui, on ne fait pas passer le message par les objets
c) chronologie : enchevêtrement de moments présent, passés et futur reprises des mêmes faits sous des angles différents, projections inattendues dans l'avenir ... : oui
Tentatives de faire coïncider le temps et l'espace ou bien le temps de lecture et le temps de la fiction ; faire du temps le sujet principal de l'oeuvre. : Non
d) réification (=chosification) : les choses sont décrites longuement et minutieusement. Le monde est réduit à sa réalité apparente, et le personnage lui-même est traité comme une chose, un objet. Souvent, on ignore son passé, son caractère son physique ou même son no. Ses actes son décrits de l'extérieur, sans jugement de valeur : Oui
e) le roman traditionnel est l'écriture d'une aventure. Le narrateur est l'aventure d'une écriture. Le texte dans sa matérialité, sa construction, son fonctionnement, se révèle plus important que l'histoire ou son contenu. : Oui
f) mise en évidence des procédés d'écriture qui étaient cachés dans le roman traditionnel :
 description annoncée , reprise annoncée du même fait sous des angles différent, décomposition minutieuse de gestes apparemment banals, goût pour les répétitions, les phrases thèmes, les motifs obsédants, les mises en abîme ...
--> le texte contient de nombreuses parodies (ex : roman d'espionnage, R. Politique, R. Policier, aspect fantastique, sciences fiction, merveilleux et théâtre)

DJINN
En quoi Djinn est-il un vrai roman ?

Cette œuvre correspond aux 4 caractéristiques du genre romanesques (d’après Kundera)
1) un jeu : ce roman est une sorte de méchano littéraire. On peut y construire et y déconstruire des idées.
2) Un rêve : le roman mêle le rêve et la réalité. Le début  réaliste puis nous entrons dans un rêve éveillé ?
3) La pensée : Le roman mobilise tout les moyens pour faire réfléchir sur le roman, sur l’écrivain, sur l’écriture et même sur le lecteur.
4) Le temps : le roman dépasse les limites temporelles d’une existence individuelle. Il traverse plusieurs culture (occidentale, américaine et européenne est et ouest , musulmane) Comme le héros ‘Simon Lecoeur’ le lecteur fait une sorte de voyage initiatique.

Les titres ?

1) DJINN :  Jean > prénom masculin en français et prénom du petit garçon
 Jean > prénom féminin en anglais
 Ceci provoque une confusion dans le récit pcq Simon et djinn se ressemble.
• djinn  en arabe = petit démons (intermédiaire entre les hommes et les anges) ils sont souvent malfaisants mais pas tjrs. . ils sont invisibles mais peuvent apparaître a volonté. Ceci rejoint certains aspects de djinn que Simon ne veut jamais vraiment rejoindre.
• Gin  récit d’un alcoolique ?

2) RENDEZ-VOUS : c’est le titre du récit de Simon
a) cela correspond à la fiction : 2 personnages doivent se rencontrer
b) symboliquement : la rencontre de l’homme et de la femme qui se ressemble très fort peu symbolisé le retour à l’être parfait. Djinn c’est le passé / Simon c’est le futur. Ils se rencontrent dans le rêve d’un enfant au présent. Ils réunissent tout le temps. Ils deviennent dieu
c) « rendez-vous » peut signifier simplement que qqun doit se rendre, il ne peut rien faire volontairement, il doit obéir …



Un trou rouge entre les pavés disjoints ?

a) au niveau de la fiction : * les chutes du petit jean dans le trou / * le cadavre de djinn dans une marre de sang.
b) Symboliquement : le rouge et le pavé lié fait pensé à la révolution. – les souvenirs de Simon sont disjoints.
c) Narration : le récit est sans cesse coupé dans le désordre.







Espace, temps et personnages ?

a) espace : le roman est sériel : une série de lieu sont représentés de façon presque identique. Le résultat c’est que l’œuvre renvoi sans cesse à elle-même
b) temps : le roman utilise 3 types de temporalités :
- temporalités miroir : le roman mêle des heures dont les caractéristiques sont l’ordre inverse des aiguilles sur le cadran.
- Le temps d’éternité : parfois le temps semble complètement absent et ceci est renforcé par les épisodes fantastiques et les moments ou le narrateur à été inconscient.
- Le temps affaibli : le minutage est parfois très précis et fait croire que la mission de Simon est réelle mais tout est factice et ou se perd à nouveau.
c) les personnages : tout les personnages nous échappe :
- il n’y a pas de nom de famille fixe et souvent le nom des personnages sont les mêmes
- les traits physiques sont interchangeables
- les ages sont peu précis
- les liens familiaux
- les personnages sont sans emplois, on sait pas si ils ont de l’argent ou pas
- ils n’ont pas de lieu d’habitations
- ils n’oint pas de passé, pas de limites temporelles fixes
- certains jouent plusieurs rôles
- tous les repères réalistes du personnage sont brisés

Aspect carnavalesques ?

- ambivalence, le dédoublement : oui, djinn est à la fois une femme et un robot
- manifestation de l’ambiance :
a) le renversement :
• profanations : très peu mais présent ex : l’enfant qui fait le mort avec le crucifix
• infractions aux règles : enfants machines qui dirige les hommes
b) la mésalliance :
• interne : la petite fille est un enfant et un guide / djinn robot / humain nb : pas du vrai fripon divin
• externe : personnes du passé et du futur Simon djinn = couple
c) le discours :
• parodie : oui, voir paragraphe précédent
• multiplicité des styles : +- peu frappant
d) autres thèmes :
• vie social : pièce de théâtre : oui
• mort diabolique hiérarchie : oui
• mort ridiculisé : oui
• oui
• situation contrastée : non
• caractère excessif : non
• imprévu le + total : oui
 ccl : ce roman et bien influencé par le carnavalesque mais pas totalement, il y a peu de renversement et le point final n'est pas appliqué.
Roman récent :

Histoire du roman français :

Le moyen age 12-13 S
Le roman courtois :

Fin 12 S légendes étrangère ou fait imaginaires histoires d’amour ou de chevalerie.
Les romans bretons :
Légendes des celtes en France prouesse de chevalier pour plaire a la dame de leurs pensées.--> passion fatale car amour se heurte au convention sociale et a la loi religieuse ainsi qu’au code de l’honneur de la chevalerie.
- Les romans d’amour : ex : Tristan et Iseult remanier par Bédier
- Les romans d’aventures : ex les romans de la table ronde, consacrés aux exploits du roi Arthur et de ses compagnons
- Les romans religieux : chrétien de Troyes : la quête du graal

le roman satirique :
Ce type de roman est d’inspiration bourgeoise. Il peint avec réalisme les mœurs du temps : ‘le roman de renard’


La renaissance 16S :
• 1ère moitié du siècle : Rabelais
• 2ème moitié du siècle Montaigne : ‘les essais’

le 17 S :
• les romans précieux ou baroques : long récit d’aventures héroïques et sentimentales dans un décor pseudo champêtre. Grande complication, artifices très nombreux, invraisemblables
• les romans burlesques : ils parodient les romans précieux en stigmatisant leurs aspects outranciers (désordre des aventures, erreurs psychologiques, langage exagérément métaphorique…
• les romans classiques : bcp plus sobres quoique minutieusement travaillés mme De La Faillette : ‘la princesse de Clèves’

Le 18 S
a) au début du Siècle : importance du roman pittoresque contant des aventures aux rebondissement multiples.
b) Romanesque semble futile au publique. La fiction réapparaît alors déguisé en lettres ou en mémoires. Ex : Rousseau ‘la nouvelle Héloïse’
c) Roman = porte parole de la bourgeoisie ex : Marivaux ‘la vie de Marianne’
d) Avec Diderot, le roman tourne en dérision. Plus moderne  arrivant au nouveau roman au XX ex : Jacques le fataliste
e) Fin du siècle : intérêt pour le romanesque renaît grâce a l’influence des préromantiques ex : rousseau
Rem : la plupart des romanesques du 17 et du 18 S se donnent une mission moralisatrice


Le 19 S
La plupart des romanciers du 19 se donnent une mission sociale. Ils veulent décrire la société, affirmer les droits de l’individu dégager le sens de l’histoire exprimer la souffrance de ceux qui n’ont pas droit à la parole …
* Tendance romantique : romans qui mettent le moi en évidence ex : Chateaubriand ‘rené
Elle se manifeste aussi dans les romans historiques. Ex : Balzac ‘ les chouans’
Stendhal, dont l’égotisme se combine à un gout marqué pour l’histoire se rattache également à cette tendance, bien que certains aspects de son œuvre annoncent déjà le réalisme.
* Tendance réaliste : a partir de 1840, les romanciers ont des prétentions scientifiques. Ils veulent apporter à la description de la société l’objectivité du servant. Ex : Zola

Le 20 S
1) décrire le monde et porter un jugement sur lui :
- en le montrant comme décadent : Proust
- en observant son absurdité : Camus, Sartre, S. de Beauvoir
2) décrire ou raconté une expérience individuelle :
- de type politique : Malraux
- de type philosophique : Camus
- de type éthique : Proust
3) détruire les récits traditionnels et faire du langage le sujet essentiel du roman : ‘le nouveau roman’ ex : Robbe-Grillet, M. Butor
4) décrire un univers surréaliste : ex : Aragon

roman, occidental :
1ère classification :
1) roman picaresque : naît en Espagne au 16S, grand succès en France début 18 S et influence encore de nombreux écrivains contemporains
2) bildungsroman : roman d’apprentissage 18 S taches de dépasser leur individualité pour s’harmoniser avec la société (but conformiste) ces histoires se terminent bien au 18 ou bien de façon déceptive au 19 et au 20 S
3) roman historique : essais de concilier la liberté d’invention avec la vérité du passé 19S : à la mode en périodes romantiques et révolutionnaires 20 S : grand attrait actuellement
4) roman feuilleton : naît durant le premier tiers du 19 S. Un spécialiste : Dumas : Il rédige ses romans en fonction du découpage en épisode pour accentuer l’effet de suspense. Ce roman véhicule souvent une vision du monde dualiste ex : les mystères de paris
2ème classification :
1) les romans d’un lieu déterminé : ex : Robinson Crusoé
2) les romans du voyage : ex : la divine comédie de Dante
- cette classification est sujette à caution : 2 lieux à la fois
- de plus depuis le 18S une série d’auteurs ont tenté de faire éclater le genre romanesque : le personnage principal devient le temps et le lecteur s’intéresse d’avantage au fonctionnement du texte qu’à l’histoire. Ex : Diderot ‘jacques le fataliste’  Proust ‘à la recherche temps perdu’  nouveau roman
- au 20S le contenu des romans est très varié témoignant de la crise de l’individualisme. Toute classification est donc abusive
3ème classification :
M.Tournier choisit, comme point de départ, l’existence des caractères primaire et secondaire
- le primaire est un visuel. Vit dans le présent passé et futur (pas d’importance) peu de souvenirs de remords de regrets de reconnaissance. Pas d’angoisse face à la vie. Optimiste sans sentiments profond
- le secondaire : s’intéresse au passé. Futur = sujet d’angoisse pour lui. Pessimiste contraire du primaire
nb : dans la réalité, une personne n’est jamais totalement primaire ou secondaire comme ici mais mélange tjrs les 2
- école primaire : tous ceux qui expriment l’intuition
- école secondaire : romantiques / baudelaire / symbolistes

le roman et son public :
• 18ème : roman écrit par des bourgeois pour des bourgeois
• 19ème : naissance de la littérature industrielle (brochures bon marché / romans feuilleton (bas de page dans les journaux) / romans de libraire) écrit pas bourgeois pour tout public
• 20ème : importance du marché. Publie principalement des best sellers. Bcp de point de vente. Démocratisation ( le livre de poche = révolution dans l’édition). Comités de lecture, prix littéraire …..
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Max

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MessageSujet: Re: synthese mega baleze de français pour lexamen de juin   synthese mega baleze de français pour lexamen de juin Icon_minitimeSam 6 Juin - 20:34

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Antoine G
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MessageSujet: Re: synthese mega baleze de français pour lexamen de juin   synthese mega baleze de français pour lexamen de juin Icon_minitimeDim 7 Juin - 13:03

gg jo
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